Cette immersion tous frais payés d’une semaine, à Bordeaux et sa périphérie, permet de :

• vivre une expérience inoubliable dans une ville classée meilleure destination touristique mondiale en 2019 par le Lonely Planet
• s’offrir le luxe de prendre le temps de prendre soin de soi, des autres et de la planète
• faire la connaissance de pionniers d’exception et découvrir leurs secrets de fabrication
• avoir la fierté d’avoir repoussé ses limites et d’avoir accompli au sein d’un collectif, des  actions concrètes et pleines de sens qui relient la tête, les mains et le coeur
• Avoir la capacité de reproduire ces nouvelles pratiques dans sa vie pro et perso en s’appuyant sur la force d’un collectif soudé
• développer des compétences humaines indispensables dans le monde de demain (mieux comprendre le carré des crises et le nouveau paradigme de société qui se dessine, développer la capacité à s’adapter à des environnements changeants, résoudre des problèmes nouveaux, encourager l’esprit d’équipe au service du bien commun, acquérir un nouveau type de leadership)
• s’ouvrir à de nouveaux emplois et nouvelles filières économiques à l’heure où l’IA va bouleverser le marché de l’emploi et les compétences recherchées
• S’initier à la culture du “slashing” à l’heure ou la polyvalence des compétences et des emplois devient monnaie courante
• S’engager sur le chemin d’un apprentissage existentiel profond au service de l’écocitoyenneté qui associe épanouissement personnel et responsabilité collective
• Incarner un nouveau récit de société, tangible et concret, qui fait vibrer, rend vivant, ouvre l’horizon d’espérance et réenchante le monde !

D’abord de la fierté ! Une récompense symbolique hautement précieuse alors que le capital social devient aussi important que le capital financier. Ensuite, des biens et des services produits et offerts par les pionniers et les partenaires d’une édition.

La montée en puissance de l’économie du savoir, permet d’élargir son champ d’interêt, d’appétence et de connaissances. Top Model Shamengo, comme tous les autres modules de formation de l’école Shamengo, aide l’apprenant à se familiariser avec les principes du vivant. Ces principes qui sous-tendent l’économie du “nouveau monde” sont à l’opposé de ceux de “l’ancien monde”.

L’apprenant acquière une vision systémique à 360° degré, ainsi que des connaissances clés lui permettant de maitriser les principaux enjeux à relever au niveau sanitaire, économique, environnemental et social dans les 8 activités qui irriguent sa vie pro et perso.

L’ingénierie pédagogique mise en oeuvre, prend en compte les 3 grands types de mémorisation (visuelle, auditive et verbale) afin que tous les participants puissent facilement et durablement mémoriser des infos clés.

Les épreuves sont conçues afin de mettre sur le même pied d’égalité ceux qui ont besoin de passer par les mains, la tête ou le coeur pour apprendre. Ces 50 dernières années, le monde de l’éducation a principalement valorisé les élèves qui avaient des facultés cognitives supérieures aux autres. Il est grand temps de permettre à ceux qui ont besoin de toucher la matière et de “faire” avant de “comprendre” pour qu’ils puissent également maitriser l’abstraction, et leur redonner toute la place qu’ils méritent.

Cette nouvelle façon d’apprendre permet aux manuels de devenir intellectuels et aux intellectuels de devenir manuels en passant par le chemin du coeur et des émotions. Elle valorise tout type d’intelligence et redonne confiance en soi et foi en l’avenir grâce à des rencontres inspirantes (pionniers, entrepreneurs, experts Shamengo).

Cette expérience permet de remettre en cause ses habitudes, en acquérir d’autres et s’épauler entre pairs pour les faire durer. Elle permet également de favoriser  le développement personnel, les compétences relationnelles et réfléchir à la marche du monde.

Cette expérience permet de s’interroger sur son rôle au sein de la société et le sens à donner à sa vie. Vaut-il mieux réussir dans la vie ou réussir sa vie ? A-t-on besoin de faire carrière, de privilégier l’argent et le statut social ou plutôt favoriser des expériences personnelles épanouissantes et développer son capital social ?

Cette immersion intense permet de s’initier à un ensemble de compétences hétérogènes, voire carrément opposées et s’appuyer sur des équipes très diverses.

Elle permet d’acquérir 4 compétences clés dans le monde en devenir : L’empathie cognitive, le travail en équipe, la gouvernance collaborative et l’aptitude à être acteur du changement. Les anglosaxons parlent des 4 C, acronyme en anglais de créativité, esprit critique, communication et coopération.

Ces qualités nous aident à devenir de plus en plus acteurs de notre vie. Si on prend par exemple le domaine de la santé, les modèles verticaux qui donnaient aux médecins le pouvoir de vous dire ce qu’il fallait faire pour vous soigner, va progressivement laisser la place à un modèle horizontal, dans lequel nous allons devenir des acteurs de santé. Le pouvoir passera des médecins vers les patients, leurs familles, leurs amis, leurs voisins…

Ces qualités nous aident aussi à  devenir dans notre vie professionnelle, des hommes et des femmes orchestres. Car dans l’économie du futur, il faudra être de plus en plus polyvalents pour piloter les usines, mais aussi les concevoir et les construire. Les métiers qui résisteront à la puissance de l’IA couplée à la robotisation, comme ceux exercés par les artisans, devront s’adapter en permanence. Ces personnes devront prendre rapidement leurs décisions et justifier des choix qui les engagent.

Les  compétences acquises à travers l’école Shamengo seront immanquablement utiles. L’approche innovante de cette école ludo-éducative offre une culture générale étendue qui permet d’avoir une  bonne compréhension du contexte sociétal, environnemental, voire géopolitique de son pays et du reste du monde.

Elle permet d’avoir accès à un catalogue unique d’innovations durables dans sa région, son pays et dans le monde entier. Ces informations de première main, régulièrement réactualisées permettent de différencer les innovations de rupture, des innovations incrémentales, de celles qui n’en sont pas !

Cette expérience aide à se constituer un carnet d’adresse indispensable pour faire ses bons choix d’orientation et de carrière, grâce à la rencontre privilégiée  d’innovateurs verts, sociaux et sociétaux les plus exceptionnels de la planète.

Elle permet de maîtriser l’intelligence collective et la complexité. On apprend que l’innovation est autant technologique, sociale qu’organisationnelle. Car les modes d’organisation de demain sont en rupture avec celles d’aujourd’hui.

Enfin Top Model Shamengo remet au goût du jour la morale. En formant à l’écocitoyenneté, on apprend à mieux concilier épanouissement personnel et responsabilité collective.

Dans un monde en pleine mutation, les employeurs privilégient de plus en plus ce type de compétences :

• compétences polyvalentes et transversales *
• compétences techniques pointues et réactualisées*
• compétences sociales de haut niveau *
• compétences singulières ou mad skill*

* Erik Brynjolssson et Andrew Mc Afee, chercheurs au MIT montrent dans leurs travaux que depuis 30 ans les emplois mono compétents déclinent au profil de compétences rassemblant plusieurs expertises.

*Dans les années 70, on pouvait encore envisager toute une carrière à partir de sa formation de base. Aujourd’hui on évoque des cycles de l’ordre de trois ans et même dans l’informatique de 6 à 18 mois. Les compétences techniques sont de plus en plus pointues et nécessitent d’être sans cesse réactualisés. (Rapport OCDE)

*Scott Hartley, capital-risqueur et auteur du livre The Fussy and the techie : why the liberal arts will rule the digital world (les rêveurs et les geeks : pourquoi les sciences humaines vont dominer le monde numérique).

D’après Scott Harley, nous avons besoin d’ingénieurs et de techniciens qui concoivent, pilotent et entretiennent les machines, mais nous avons également besoin de gens qui comprennent les mécanismes du comportement humain. Les considérations techniques sont aussi importantes que l’effet de la culture sur les prises de décision, et sur l’utilité de raconter des histoires pour expliquer les actions des individus. Raison pour laquelle, de nombreux PDG d’entreprise high-tech (anciens ou actuels) sont diplômés en sciences humaines : Stewart Butterfield fondateur de Flickr et Slack et diplômé en philosophie, Jack Ma, d’Ali Baba diplômé en anglais ; Susan Wojcicki, de Youtube diplômée en histoire et litterature et Chesky d’Airbnb, diplômé en Beaux-Arts.

*D’après Michel Baradel professeur à Sciences Po paris (Executive Master spécialisé en ressources humaines) les profils singuliers sont de plus en plus recherchés pour leur lecture atypique des problèmes. On parle de mad skills ou de compétences déviantes. On appelle aussi ces individus des corsaires, car ils se distinguent des rameurs, qui sont des clones. Les organisations ont en effet réalisé qu’elles avaient une meilleure capacité à se réinventer avec un collectif hétérogène, plus innovant et moins résistant au changement.

Ce challenge ludo-éducatif est ouvert à tout citoyen âgé d’au moins 14 ans et sans limite d’âge.

Le choix de former une équipe  de compétiteurs/coopérateurs  transgénérationnelle s’appuie sur 3 raisons. D’abord, chaque génération peut apprendre des autres générations, ensuite un collectif est mieux armé pour résoudre des problèmes s’il est composé de personnes d’âge différent (une étude allemande menée auprès de société d’assurances et de constructeurs de camion a montré en Allemagne que les équipes composées de représentants de plusieurs générations sont les plus productives. Cf Article de John Parker, the Economist) enfin inventer un nouveau paradigme de société implique immanquablement de faire société avec toutes ses parties prenantes sans opposer les générations les unes aux autres. (cf sortir de la diatribe “c’est la faute aux boomers”).

Les cohortes seront idéalement composées de représentant des générations suivantes :

• Génération Alpha (2011 et au-delà)

Nommée d’après la première lettre de l’alphabet grec, la génération Alpha est la première à être née entièrement au XXIe siècle. La numérisation croissante de nos modes de vie, les changements démographiques et l’instabilité politique vont de plus en plus marquer cette génération. Cette génération a aujourd’hui entre 1 et 13 ans et on ne lui a donc pas encore attribué de caractéristiques déterminées. Une étude controversée menée en 2021 en a dressé un tableau sombre : ces enfants seraient surprotégés et mal socialisés; présentant des déficits linguistiques, ils seraient également facilement dépassés par bien des choses. Une nouvelle manière d’apprendre est une clé essentielle pour leur permettre de s’épanouir et jouer pleinement leur rôle dans la société en devenir.

• Génération Z (1996-2010)

Ce sont les adolescents d’aujourd’hui et les jeunes adultes encore en formation ou récemment entrés dans la vie professionnelle. Ils ont grandi avec les technologies numériques, comme les smartphones et Internet. Les réseaux sociaux font partie de la vie quotidienne de la génération Z. En tant que natifs numériques, ils évoluent entre réalité et virtualité.

Cette génération est considérée comme ayant l’esprit ouvert et comme étant la première à faire partie d’une «culture mondiale», puisque les caractéristiques de ces personnes convergent en raison de la numérisation et de la mise en réseau à l’échelle mondiale. Selon les clichés, la génération Z est particulièrement exigeante et impatiente, mais également soucieuse des problèmes liés à la santé et à l’environnement. Le besoin de s’épanouir librement semble être l’une de ses priorités.

• Génération Y ou les Milléniaux (1981-1995)

Depuis leur enfance, ils ont été socialisés au contact de médias technologiques, et c’est la raison pour laquelle on les considère également comme les premiers «natifs numériques» ou encore comme la «génération des réseaux sociaux». On désigne par «natifs numériques» les personnes qui ont été confrontées aux technologies de l’information dès leur enfance et qui ont grandi avec Internet : un monde sans médias numériques leur est totalement inconnu. La génération Y est donc considérée comme particulièrement technophile.

La génération Y a grandi à une époque où des questions comme le changement climatique, la mondialisation et le terrorisme ont commencé à occuper le devant de la scène. Plusieurs classifications indiquent que cette génération recherche un bon «équilibre entre vie professionnelle et vie privée» et qu’elle aspire, pour sa vie professionnelle, à quelque chose qui ait «de la valeur et un sens». On dit de cette génération qu’elle apprécie l’individualité, tout en accordant une grande importance à la communauté.

• Génération X (1965-1980)

Ces personnes sont aujourd’hui en plein milieu de leur vie active, et représentent donc un pilier essentiel pour l’économie. Elles sont considérées comme la génération qui a été marquée par les premiers grands progrès technologiques (premier homme sur la lune, premiers ordinateurs, etc.); on parle d’ailleurs aussi de la génération MTV.

Cette génération a en outre été marquée par une accentuation de la prise de conscience face aux problèmes posés par l’environnement. En effet, durant leur jeunesse, des catastrophes écologiques, comme par exemple Tchernobyl ou bien le trou grandissant dans la couche d’ozone, ont constitué des événements majeurs pour la société. Selon les stéréotypes sur la «Gen X», cette génération est également axée sur la performance, mais elle agit de manière plus individuelle que la précédente. On dit aussi qu’elle s’en distingue en ce qu’elle recherche un équilibre entre vie professionnelle et vie privée; ces personnes attachent davantage d’importance aux loisirs et à la qualité de vie que leurs aînés.

Parmi eux figurent les Quincados (expression inventée par le sociologue Serge Guérin pour qualifier des quinquagénaires qui vivent comme des adolescents.

• Les baby-boomers (1945-1964)

La période de reconstruction qui a suivie la Seconde Guerre mondiale a été marquée par  une reprise économique qui a considérablement amélioré les conditions de vie de nombreuses personnes. Cette période a connu une explosion de la natalité, d’où le nom donné à cette génération. Durant ces années-là, la société n’a pas eu à subir de nombreuses crises économiques; elle a plutôt été marquée par le mouvement pacifiste et environnemental.

Le développement économique favorable ayant été un aspect social central à cette époque, on dit des baby-boomers qu’ils sont disciplinés, orientés vers la carrière et la performance. On dit souvent que le travail est pour eux une priorité.

En 2019, l’expression «ok-boomers» s’est développée dans la culture du net : on a reproché aux baby-boomers des opinions conservatrices et une absence d’ouverture aux nouvelles approches, critique qui a conforté les stéréotypes sur cette génération. Ce récent conflit de générations s’est surtout manifesté au niveau de la thématique du changement climatique.

Aujourd’hui, les baby-boomers représentent le groupe le plus important de toutes les générations. Les personnes nées entre 1945 et 1964 atteignent progressivement l’âge de la retraite, ce qui, compte tenu de la proportion de cette classe d’âge au sein de l’ensemble de la société, entraîne un déficit considérable en termes de population active.

Parmi les boomers, on trouve la catégorie des Yold (contraction en anglais de Young et Old) c’est à dire des jeunes vieux,  ainsi que l’on désigne au Japon la tranche d’âge des 65–75 ans, sachant que 2020 marque l’entrée dans la décennie des Yold ! Ces personnes ont potentiellement devant eux encore un tiers de leur vie et celle-ci peut être active…car c’est ce qui maintient en santé.  Il est important de mettre en avant “des égéries’ de personnes âgées non vues comme des has been mais comme des personnes ayant accumulées une grande expérience et capables de s’engager en faveur de la transition écologique.

Les candidats sélectionnés le seront sur les critères suivants : capacité d’ouverture intellectuelle, de curiosité, d’envie d’apprendre, d’adaptation et capacité d’appropriation de nouveaux modes de vie. Capacités physiques minimales (savoir faire du vélo) avec une préférence pour les personnes pratiquant régulièrement une activité ou plusieurs activités physiques (sports collectifs ou individuels).  Capacité artistique que ce soit dans la pratique du chant, d’un instrument de musique, du dessin, de la sculpture, peinture, photographie, vidéo, théâtre…Capacité à s’intégrer dans un groupe, aimer l’idée d’appartenir à un collectif porteur, de cultiver l’entraide entre pairs une fois la coopétition terminée et progresser chaque jour un peu plus sur le chemin de l’écocitoyenneté.

Les réponses à ce questionnaire complémentaire permettent de départager les candidats et de constituer un collectif de 8 personnes. Un mail sera envoyé  afin d’annoncer aux candidats ceux qui ont été retenus et ceux qui n’ont pas été retenus.

Signature du manifesto Shamengo par les candidats. C’est plus qu’un jeu et une formation, c’est un apprentissage existentiel profond.

Les candidats retenus vont accueillir sur une journée la présence d’une équipe TV qui les suivra pour relater leurs habitudes concernant les 8 activités.

Parce qu’il est important d’immortaliser “sur la pellicule”, ces instants forts, qui questionnent ses habitudes de vie et ouvrent le champ des possibles sur d’autres pratiques. Parce qu’à l’heure des RS et la suprématie absolue du partage de vidéo (près de 70% du trafic internet) il est important d’utiliser les supports de communication qui parlent au plus grand nombre. Parce que la vidéo est le media des émotions le plus puissant au monde et qu’elle peut donner envie à d’autres de participer aux prochaines éditions (en tant que candidat, gentil organisateur, jury, pionnier, partenaire) Parce que cette série vidéo est un outil pédagogique à mettre entre les mains du plus grand nombre.

Parce que tout le monde connait des émissions de téléréalité. Parce que ce format est consubstantiel à la culture des jeunes générations. Parce qu’il a largement fait ses preuves en terme d’audience. Parce qu’en France, nous assistons à une polarisation grandissante entre ceux qui adhèrent à la transition écologique et ceux qui lui tournent le dos. Ceux déjà investis le sont de plus en plus tandis que d’autres deviennent de plus en plus réfractaires, voire hostiles. Parce que les codes de la téléréalité parlent et peuvent toucher le public le moins sensibilisé à ces questions. Parce que d’une manière générale, il existe un décalage entre les convictions de la population et ses actions. Parce que le fait de découvrir “un nouveau monde” par l’intermédiaire de citoyens ordinaires auxquels on peut s’identifier ouvre de nouvelles portes dans son esprit. Parce que l’écoute active et sincère que l’on offre à celui que l’on filme permet de déclencher de puissantes prises de conscience. On parle souvent de “caméra thérapie”. Parce que ces nouveaux modèles peuvent toucher le coeur des femmes et des hommes et leur donner envie de les imiter. C’est tout l’objectif de cette “téléralité intelligente”. Montrer que l’adoption de modes de vie plus durables rend fier et apporte davantage de confort et de bonheur.

Pour la première édition, Top Model Shamengo se déroulera du 6 au 12 juillet 2024 à Bordeaux et sa périphérie. Les épreuves auront lieu dans plusieurs endroits, notamment “l’appart’école Shamengo” et la future “maison école Shamengo” mais aussi dans plusieurs endroits de la métropole (marché, centre ville, exploitation agricole, maison de retraite, pistes cyclables…).

Les candidats sont accueillis le 5 juillet dans l’après midi pour ceux qui le souhaitent afin de pouvoir être tranquillement à pied d’oeuvre le lendemain matin de bonne heure quand le concours commence officiellement. Ils sont reçus par des hôtes Shamengo, c’est à dire des habitants de Bordeaux qui les invitent chez eux et leur offrent le diner et un lit pour dormir.

Les candidats sont mis en condition avant de se retrouver le jour J. Une équipe TV de Shamengo se rend au domicile de chacun d’entre eux, deux mois avant le début des épreuves pour réaliser leur portrait vidéo. L’équipe TV recueille les motivations de chacun mais surtout filme pendant une journée chaque candidat dans son quotidien pour découvrir ses habitudes quand il mange, s’occupe de son intérieur, s’habille, se soigne (produits d’hygiène et cosmétiques mais également pratique d’un sport et type de médecine) se déplace, communique, se divertit et interagit avec les membres de son entourage (famille, amis, voisins, collègues de travail).

Un mois avant la coopétition, l’application du jeu est accessible au 8 candidats.

L’accès à des infos et des ressources pédagogiques leur permettront de mieux préparer leur voyage et de prendre de l’avance sur les autres.

Pour les candidats désireux de venir sur Bordeaux la veille du début des épreuves, ils sont accueillis par des hôtes Shamengo qui leur offre le gite et le couvert pour une soirée.